se l’approprier, en saisir le message, faire corps avec, comme visuellement la nuit, assez pour savoir s’aventurer et se repérer pour avancer, mais sans en saisir les contours,
la vie se loge au creux d’une main tendue, ouverte et recueillie, elle est à l’image de cette partie de vigne, fragile et d’une potentialité inouïe,
sans divulguer la totalité de la sexualité, en respectant le secret, l’intime au creux de chacun, son dialogue intérieur et sa singularité,
expliquer à toutes les filles la richesse de ce monde intérieur, de ses capacités hors du commun, de sorte qu’elles puissent composer avec leur peur de l’inconnu, de ce qui ne peut se voir tout entier,