Envie de vous libérer ?

 

J’ai commencé ma vie professionnelle par des études de médecine, dans lesquelles je n’ai pas trouvé mon compte en termes de formation humaine. Après une pause familiale, j’ai recommencé sur le terrain, dans des métiers de contact en tant que serveuse ou maîtresse de maternelle, ainsi qu’un bref passage dans une entreprise viticole. Cette diversité m’a apporté une richesse d’expérience qui m’a donné envie de creuser plus loin mon goût pour les métiers d’accompagnement.

J’ai repris mes études pour devenir éducatrice à la vie en 2019 et j’ai complété par un cursus de sexologie et thérapie de couple positive (école d’Iv Psalti) et de Conseillère Conjugale et Familiale (CCF) à l’Institut Société Famille (ISF) de Lyon qui m’a certifié en 2022.

Je me passionne pour ce domaine du soin humain en réalisant notamment des formations variées qui viennent enrichir ma pratique, tel que l’énnéagramme (Valérie Maillot ou CEE), la thérapie de couple imago (Florentine d’Aulnois-Wang), ou encore des formations d’animatrice en éducation affective avec la sexologue Thérèse Hargot.

 
 
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Pourquoi faut-il penser et panser ses relations ?

Parce que le bien-être relationnel a un impact direct sur votre santé en général, que les mots ont une puissance sur les maux. Nous apportons dans la relation (avec nous-même ou les autres) des bagages issus de l’enfance qui n’ont pas eu de mise en mots mais se sont imprimés en traces sur le psychisme ou dans notre corps.
Ceux-ci viennent interférer dans nos rapports (sexuels ou relationnels) sans notre accord produisant la désagréable impression d’être sans ressources pour s’accepter ou se transformer.

Au travers de mon écoute active, vous pourrez déposer ceux-ci pour entrer ou persévérer de manière plus légère dans la relation.

 

Parce qu’en dix-huit ans de mariage j’ai acquis la conviction que l’équilibre du couple repose sur un soin quotidien, je souhaite vous transmettre des outils de ritualisation, de communication, et de câlinothérapie.

Parce que nous pouvons résoudre nos conflits en percevant les crises comme des occasions de croissance. Mon père médecin avait l’habitude de dire que les maladies infantiles font grandir l’enfant, en ce sens qu’elles lui développent son immunité. Je trouve qu’il en est de même dans la relation et l’éducation. C’est en cela que je m’inscris dans une démarche de thérapie résolument positive issue de la psychologie positive, qui va plus loin que le seul traitement des maladies mais conduit à l’apprentissage du bonheur. Loin du laxisme que l’on peut parfois lui prêter ou d’un optimisme béat, cette démarche se veut concrète dans le sens d’une découverte des règles qui nous régissent et des limites qui nous tendent, d’une conscientisation en vue d’une meilleure acceptation, estime de soi, qui aura sa fécondité, sa joie, à relationner.

Et parce qu’il vaut mieux associer le patient à son processus de guérison, mon accompagnement est pensé en co-construction avec vous, afin de découvrir votre façon propre d’aimer, les liens entre vos actes et ce qui les sous-tend, et vous permettre de vous rassembler, de vous unifier